Sommaire
- 1. Méthode de travail
- 2. Volet gouvernance
- 3. Volet sociétal
- 4. Volet social
- 5. Volet environnemental
- 6. Volet économique
3.3. Contribuer au développement local
3.3.1. Projet collaboratifs avec les partenaires locaux
3.3. Contribuer au développement local
3.3.1. Projet collaboratifs avec les partenaires locaux
SCT4 : indicateur de maturité
Enjeu : Contribuer au développement local
Question
Des projets collaboratifs à valeur partagée sont-ils menés au sein de votre structure ?
Des projets sont menés ponctuellement mais non formalisés.
Des projets sont menés régulièrement mais non formalisés.
Des projets sont menés régulièrement et formalisés.
Les projets sont menés de façon pérenne (ancienneté de plus de 3 ans) et évalués.
Les projets menés sont inscrits dans le projet de la structure et des partenaires.
Définition
Cet indicateur présente le niveau de maturité de la structure dans la mise en œuvre de projets collaboratifs à valeur partagée, menés avec les partenaires locaux.
Le travail collaboratif désigne la coopération entre la structure et ses partenaires locaux afin d'atteindre un but commun. Coopérer repose principalement sur une valeur, celle du partage. Coopérer, c'est partager avec les partenaires locaux (partenaires, fournisseurs, prescripteurs, associations…) :
une valeur partagée : des bénéfices en commun pour la structure et ses partenaires,
des valeurs pour créer des liens et la confiance,
un projet pour atteindre des objectifs communs,
partage de connaissances pour améliorer les décisions,
partage de ressources (financières, humaines, matérielles) pour consolider les engagements,
partage d’outils pour coordonner les activités.
Le travail collaboratif repose également sur des comportements, notamment vouloir et savoir coopérer. Vouloir coopérer, c'est être motivé pour entrer en relation avec l'autre, et partager avec lui une partie de son pouvoir, ses ressources et de son savoir. Savoir coopérer, c'est comprendre les attentes de l'autre et maîtriser les compétences relationnelles qui permettent de construire une relation humaine de qualité.
Ne considérer ici que les projets actifs sur l’année n-1
Exclus : les partenariats avec des structures de santé
Obligations juridiques
Principales obligations juridiques sur ce sujet :
Actions possibles
Exemples d’actions à mener sur ce sujet :
Créer avec la collectivité une ligne de transport pour faciliter l’accès à la structure,
Proposer des actions culturelles, artistiques, éducatives, etc. pour valoriser les compétences des bénéficiaires (patients et personnes accompagnées),
Participer au projet éducatif d’une école.
Ressources
Retrouver les ressources de l’ANAP sur ce sujet sur : http://rse.anap.fr/recherche-par-referencement/requete-generator/651/null/null
Solliciter l’aide d’un membre du réseau de l’ANAP sur ce sujet : http://rse.anap.fr/annuaire-reseau
Calcul de l’indicateur
Mode de calcul |
Le niveau de maturité s’apprécie selon un mode déclaratif et selon une échelle sur laquelle la structure doit se positionner : un niveau de 1 à 5, plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. Liste déroulante, un seul choix possible. Le niveau choisi suppose que les niveaux inférieurs sont maîtrisés. |
Unité | NA |
Période de calcul | Au 31 décembre de l’année N-1 |
Source de données | Projet de la structure |
Collecte | Le responsable se positionne sur l’échelle selon le niveau de maturité de sa structure. Il vérifie que la réponse correspond bien à la réalité dans la structure. |
Personnes à mobiliser | Direction de la structure. |
Interprétation
Le niveau 1 est le niveau minimum que doit avoir toute structure. Les niveaux suivants permettent d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau pérennité et de formalisation de projets collaboratifs à valeur partagée. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature.
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