Sommaire
- 1. Introduction
- 2. Notions générales relatives...
- 3. La conduite des projets dan...
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4. Les actions de changement e...
- 4.1. La quantité de déchets pr...
- 4.2. Les actions déployées par...
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4.3. Actions déployées au cas...
- 4.3.1. Création de nouvelles f...
- 4.3.2. La filière papier / car...
- 4.3.3. La filière piles
- 4.3.4. La filière consommables...
- 4.3.5. La filière argentique
- 4.3.6. La filière emballages a...
- 4.3.7. La filière plastiques
- 4.3.8. La filière conserves
- 4.3.9. L’adaptation de la déma...
- 4.3.10. La formation / informa...
- 4.3.11. gestion des flux
- 4.3.12. entreposage et stockag...
- 4.3.13. Relations avec les pre...
- 4.3.14. La politique d’achats...
- 5. Conclusion
- 6. Annexes
- 7. Enseignements complémentair...
4.3. Actions déployées au cas par cas
4.3.1. Création de nouvelles filières
4.3.1.2. La faisabilité technique
4.3. Actions déployées au cas par cas
4.3.1. Création de nouvelles filières
4.3.1.2. La faisabilité technique
La faisabilité technique de la filière est majoritairement tributaire de deux points :
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la capacité d’entreposage des déchets, qui pose problème à tous les établissements à l’étroit dans leurs murs : une benne papier / carton et / ou des conteneurs ne trouvent pas toujours de place dans les espaces ouverts ou les locaux déchets des étages ;
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la proximité géographique d’acteurs capables de valoriser les déchets en question.
Pour la question des zones d’entreposage, il peut s’avérer utile de limiter certaines filières aux points de production les plus importants. Ainsi, le carton étant majoritairement produit auprès des cuisines, de la pharmacie et du magasin, il est possible que se limiter à ces trois points de collecte dans un premier temps permette de mettre en place une filière.
Ces deux points s’examinent aussi en fonction des quantités produites par l’établissement et il peut être intéressant, dans certains cas, de se rapprocher d’établissements voisins pour organiser des groupages de volumes, permettant de s’adresser à des prestataires plus lointains.
L’intérêt de ces approches conjointes est déjà vérifié pour les filières obligatoires génératrices de faibles volumes unitaires. On peut penser au cas des déchets à risques chimiques par exemple.