Bonjour
Au dela des problémes techniques, la difficulté réside plus dans l'adhésion de la communaté médicale à ces exigences qu'ils jugent inutiles et/ou superflus par rapport à leur production de CR habituels.
Qui fait quoi et à quel moment rajoute à la difficulté de production de la LDL dans la mesure ou tous le processus de prise en charge est impacté.
L'organisation prévue est difficile à mettre en place et finie par se résumer à des rencontres duelles avec une élaboration personnalisée de cette lettre par spécialité etainsi faire le deuil d'un courrier type tel que demandé.
Bonjour Nora,
il est vrai que l'acceptation d'un courrier stéréotypé est difficile pour les praticiens. Nous avons pris le parti de développer un formulaire d'observation contenant l'ensemble des informations demandées pour la lettre de liaison mais pour le courrier automatisé issu de ce formulaire , nous avons gardé une souplesse de mise en forme en intégrant tous les items demandés. l'usage des services de médecine et gyneco obstétrique est opérationnel avec un gain non négligeable pour le secrétariat
c'est beaucoup plus complexe à mettre en oeuvre pour les chirurgies (Observation très succinte, DMS très courte et centré sur le compte rendu opératoire.
Bonjour Danielle
Je te remercie pour ta réponse , effectivement la complexité est plus grande pour les chirurgiens.
bonjour,
nous sommes confronté à un blocage dans le cadre de la mise en place d'une solution de dictée numérique. La question de la signature electronique n'est pas clarifiée, et je serais curieux de connaitre vos différentes experiences autour de çà ? vos praticiens paraphent ils encore les couriers avant de le remettre au patient, avez vous signé électroniquement avec un certificat type CPS, ou vous contetnez vous d'une authentification forte.......quid de la validité du document en cas de recours patient....quels lgiciels utilisez vous
merci de vos pistes,
Bonjour,
Pour répondre à Hélène sur la reconnaissance vocale : cela fait maintenant 9 mois que nous avons mis en place sur 25 utilisateurs la reconnaissance vocale. Il existe un système actuel qui n'est plus à la licence par poste mais à la licence par utilisateurs. Les licences sont donc acquises par l'établissement, et peuvent être attribuer ou retirer quand un utilisateur arrive et part. L'éditeur par contre ne commercialise pas en direct les licences et nous devons passer par un intégrateur. Pour notre part, nous sommes passés par l'éditeur de notre SIH ; le prix est d'environ 1 500 €/licence.
Par contre, je suis d'accord avec vous, ceci fait partie des moyens techniques mis à disposition et apporte une partie de la réponse au problème de production des CR mais c'est bien le processus qui doit être pris dans son ensemble.
@Grégory : c'est un sujet qui métire une discussion à part entière ! N'hésitez pas à ouvrir une nouvelle discussion, vous serez sûrement agréablement surpris de la vitalité des échanges qui suivront ;-).
oui, un processus classique mais bien huilé est plus efficace que la reconnaissance vocale mal utilisée...
@Patrice @Dominique. Il y a une discussion sur la reco vocal il y a assez longtemps, mais son contenu vaut le détour : http://numerique.anap.fr/communaute-de-pratiques/discussion/8/
N'hésitez pas lancer une nouvelle discussion si le sujet mérite échanges, on a plein de grain à moudre sur ce sujet, à commencer par la question de Grégory sur la signature électronique. Grégory, votre question renvoie d'ailleurs plus largement au sujet de la signature sur les documents numériquement natifs. Nous avons sur ce sujet aussi pas mal de billes, donc je ne saurais que trop vous encourager à ouvrir un nouveau fil de discussion : ici, on parle de la lettre de liaison.